| Nous n'avons pas été présentés | | | | | | | | | S'identifier |
"Oui c'est ça la littérature et ce qu'on écrit si c'est bon si c'est mauvais on s'en fout ça compte pas même si on y passe 50 ans de sa vie entre les quatre murs"
(Raymond Federman, amer eldorado)
Cliquez sur l'une de ces suites si vous souhaitez l'ajouter à votre liste de favoris.
| No | Proposition | Auteur |  |  |
| 1 | parceque la vie eh bien que voulez vous à peine on est dedans qu'aussitôt il faut en sortir mais pendant qu'on y est dans la vie pas moyen de jouer à la vie non parceque la vie est comme un grand JEU dans lequel on peut jamais ah ça non jamais dire moi je joue plus POUCE... | Vrai | ||
| 2 | Moi-même en ce moment, j'écris sans doute le pire roman qui ait jamais été écrit, plein de platitudes, et qui n'accrochera sans doute aucun lecteur, même oisif. Mais j'écris ce qui me plait, pour moi et au final, c'est la seule chose qui compte. | Migou | Puch | |
| 3 | du soleil. Ah, vous ne saviez pas ? Il faudra vous y faire, le soleil n'a pas de rayons, mais des longs murs lumineux, sans ombre, des Murs des lamentations éblouissants contre lesquels se fracassent les crânes des écrivains en une longue prière sans Dieu. | Stéliade | Migou ordo | |
| 4 | la seule chose qui compte putain c'est qu'on se les arrache enfin ces éditeurs... et qu'ils payent ! oui qu'ils payent pour tous les livres qu'ils ne feront pas, et pour tous les murs dans lesquels on aura tourné, non mais tu sais quand j'y pense c'est tellement tarte... | ordo | Stéliade | |
| 5 | d'une turne mal éclairée à alourdir du papier avec des figures de style qui sentent comme le camembert du frigo. Je ne bâcle pas. Mais je ne réfléchis pas. Si j'arrête d'écrire, je crève. | Fabrice | Migou ordo Puch Stéliade |
Proposé par twingolescu
Source: al dante page 116 (ed 2003)
Publié le 1er février 2005
 | | | Aller en bas | | | |
| Fabrice | 13 janvier 2005, 05:36:26 |
|---|---|
| Je pense qu'on va voir des variations sur le thème de l'écrivain maudit. | |
| Migou | 29 janvier 2005, 19:12:37 |
|---|---|
| C'est triste, le jeu du roman est bien bloqué ces derniers jours, peut-être que tout le monde travaille dur avec la rentrée, (Les bonnes résolutions, et tout...) Allez, courage, mais je crois qu'il faudra attendre encore un peu . | |
| Migou | 31 janvier 2005, 17:41:09 |
|---|---|
| Aille, j'avais pas vu le "les" dans "entre les quatre murs". Ca change tout , il fallait commencer les propositions pas "de ...". Allez, mon souriel pour le soleil que je n'ai pas beaucoup ces derniers jours. | |
| Stéliade | 1er février 2005, 03:36:03 |
|---|---|
| 4-man ou 4-woman, merci de venger les auteurs ;-) | |
| Stéliade | 1er février 2005, 03:39:40 |
|---|---|
| L'articulation de la phrase de départ nous a forcément conduit à la phrase de Fabrice, c'est à dire celle qui respectait le mieux cette articulation. | |
| Migou | 1er février 2005, 07:44:40 |
|---|---|
| C'est traitre. | |
| ordo | 1er février 2005, 09:31:01 |
|---|---|
| moi j'ai hésité pour les quatre murs, c'était pas évident, dans un langage familier, j'ai déjà entendu dire ce genre de truc | |
| twingolescu | 1er février 2005, 10:31:10 |
|---|---|
| congratulations à Fabrice, on y est | |
| Fabrice | 1er février 2005, 15:58:40 |
|---|---|
| J'ai profité des quatre murs, c'était traître en effet. Par contre, la vraie suite est la seule qui continuait sans ponctuation. | |