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"MERCHANT : Pourquoi ne pas procéder aujourd'hui à...
ALAN : C'est impossible...
MERCHANT : Pourquoi ?
ALAN : Le rosier a disparu.
Silence de dix-neuf secondes."

(Patrick Cauvin, Jardin fatal)


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1Silence de vingt secondes. Vingt-et-une. Vingt-deux. Vingt-trois. Vingt-quatre.
MERCHANT : Ah, je n'en peux plus ! Il faut le faire maintenant.
ALAN : Mais c'est absolument impossible. Maintenant taisez-vous.
Vingt-cinq. Vingt-six. Vingt-sept. Ving-huit. Vingt-neuf.
MERCHANT : Et s'il y a un accident ? Vous ne vous rendez pas compte...
Trente. Trente-et-un...
sssss  
2Un mutisme où tout s'enchaîne inexorablement : Olibrius, Max-Max... le début fracassant presque brillant qui ressemblait à s'y méprendre à une blague de potache... et si désormais une existence normale était à jamais interdite... et si... non c'est impossible... ça n'est pas, infime-t-il d'une voix très basse, presque violente.Veronese  
3Suivi d'une agitation fébrile. Merchant se précipite avec Suzanne dans la cour intérieure, pendant qu'Alan sort son tireur. John D. s'est jeté sous l'échelle.
ALAN : Planquez-vous ! je vais dégommer !
Il commence... et là sous leurs yeux stupéfaits, le tireur lui-même commence à disparaître.
ordocolomb.white
sssss
 
4MERCHANT : Tant pis...
ALAN : Mais allons mon cher ! Un rosier si rare, il nous faut le retrouver. Il m'a coûté une petite fortune. Et il n'est pas impossible que quelqu'un soit prêt à l'acquérir par des moyens détournés.
MERCHANT : Quel gachis...
Adrien Spiralo colomb.white
5MERCHANT : Avez-vous une idée de la cause de sa disparition ?
ALAN : Je n'en ai qu'une
MERCHANT : Laquelle ?
ALAN : Je suis conscient de l'énormité de ce que j'avance, mais j'en suis réduit à penser que la plante s'est déplacée d'elle-même.
VraiColonel Sponsz
ordo
Colonel Sponsz
ordo
sssss

Proposé par Stéliade
Source: p.93, le livre de poche n°37105,©Editions Albin Michel S.A, 2003
Publié le 4 septembre 2006

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Commentaire de l'auteur


Stéliade19 août 2006, 16:25:32
Suite à une expérience biologique, des plantes subissent une mutation radicale : elles cessent d'être assujetties à leur racine et deviennent capables d'autonomie de mouvement comme des animaux. Magnifique, vu comme ça... sauf quand l'idée tombe entre de mauvaises mains et que la mort verte s'avance...

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