Nous n'avons pas été présentésS'identifier

Continuer le passage suivant :

"Trois jours plus tard, je longeais le couloir du Hollywood Roosevelt Hotel en direction de la chambre 1121. Je frappai à la porte. L'homme qui m'avait remis ma citation à comparaître m'ouvrit. On me fit entrer."
(William Boyd, Les nouvelles confessions)


Cliquez sur l'une de ces suites si vous souhaitez l'ajouter à votre liste de favoris.

NoPropositionAuteur
     
1L'homme me conduisit à une table couverte d'instruments et me dit de m'asseoir. Une femme me demanda de retirer mes chaussures, mon veston et me pria de rouler les manches de ma chemise. Elle installa les instruments sur certaines surfaces de mon corps. Pendant ce temps, l'homme écrivait dans un cahier.libellulejezabelisa
naja
 
2Je fus prise de panique lorsque j'aperçut Éric dans le fond de la chambre, ligoté et attaché à la tête du lit. On l'avait vraisemblablement violenté pour avoir quelques réponses.naja libellule
3Une blonde gironde disposait des expressos sur la table basse; elle fit demi-tour, poussant la desserte. Je reportais mon regard sur l'homme : Il avait l'air détendu. Je notais pourtant la veine qui battait sur sa tempe gauche.jezabelisaCaboche
 
4En face de moi, un hachis parmentier. Entendons-nous bien, ce n'est pas une façon de parler. Je me retrouvais seul avec un véritable hachis parmentier, vous savez, purée de pomme de terres et viande hachée. Avec un peu de saucisse sèche et quelques échalotes, c'est encore meilleur. Bien sûr, je n'allais pas apprendre à Klebbs ce qu'était un hachis parmentier.Fabrice Caboche
jezabelisa
naja
5La chambre 1121 était une suite. le salon avait été vidé de son mobilier, et un long bureau installé à un bout avec trois chaises derrière. Une autre chaise, solitaire celle-là, était placée en face à deux mètres, au milieu de la pièce.Vrailibellule
 

Proposé par Kro
Source: William Boyd, "les nouvelles confessions", Ed Points (Seuil)
Publié le 10 septembre 2004


Votre pseudo* :
Mot de passe :
Votre commentaire* :