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"Un jour que le patron n'était pas là, le boucher et la bouchère s'étaient enfermés dans le frigo. Au bout d'un moment, j'avais eu envie d'ouvrir la porte."
(Alina Reyes, Le boucher.)


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1Entre les rangées de carcasses suspendues de mouton et de veau, la bouchère s'était agrippée des deux mains à deux gros crochets de fer au-dessus d'elle, comme on le fait dans le métro ou dans le bus pour garder l'équilibre.VraiCaboche
Kro
 
2Comme c'était le début de l'après-midi, il n'y avait pas de clients. J'ouvris la porte doucement en faisant bien attention de ne pas faire de bruit car je ne voulais pas qu'ils se rendent compte de ma présence. Le dispositif de fermeture de la porte habituellement bruyant collabora. Se que j'appercue ce jour là, me figea. Je ne pu faire autrement que de regarder.hérisson  
3Mais je ne pu par dignité. Soeur Marie Clarisse me l'avait maintes fois répétée. Ne jamais déranger les âme pures.naja Kro
Migou
4Mal m'en prit, je reçu une cotelette sur le coin de l'oreille. "Salopard de voyeur, tu peux pas t'occuper les mains tout seul, les miennes sont déjà pleines des jambons de ma bourgeoise".Kro jezabelisa
5Je n'ai jamais su résister aux envies.
Serrés l'un contre l'autre, ils grelottaient et soupiraient. Ils étaient nus et bleus.
picrocolejezabelisa
Migou
Caboche

Proposé par libellule
Source: Le boucher, Alina Reyes. Seuil. p.28.
Publié le 11 septembre 2004


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