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"- Pendant le temps où je suis resté silencieux, mademoiselle Eyre, j'ai réglé une question avec ma destinée. Elle était là, debout, près du tronc de ce hêtre, sorcière semblable à l'une de celles qui apparurent à Macbeth sur la lande de Forres. "Tu aimes Thornfield ?", m'a-t-elle dit, le doigt levé; alors"
(Charlotte Brontë, Jane Eyre)
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| No | Proposition | Auteur |  |  |
| 1 | Ouvre à jamais ta chambre maudite, celle où le Mal descendit sur les tiens." Mademoiselle, je vous ai menti, mon épouse était vivante, et si cela ne vous fait pas comprendre le désespoir, rien ne le pourra. Mais c’est une très longue histoire, et, que Dieu soit loué à jamais, elle est dorénavant enfouie dans un passé qui ne reviendra plus. Donnez-moi votre main, là, que je la serre. | tomahawk | allantwo0 | |
| 2 | tu aimes troubler mon âme triste. Qui de nous,ici, saura faire revivre les vestiges de cette culture du souvenir ? Mademoiselle Eyre fit mine de s'interesser à son mouchet puis regarda vers Robert Rodge ,cherchant du soutien ,elle n'obtint | allantwo0 | Bernie77 | |
| 3 | je lui ai répondu "non" en lui tirant la langue et la destinée s'en est allée, tête baissée. J'ai bien cru entendre des sanglots. Eh bien, c'est décidé Jane, nous quitterons Thornfield auquel nous devons tant de malheur et nous irons vivre dans une petite ville de France où il fait bon vivre. Aimez-vous la vallée du Grésivaudan? | Migou | allantwo0 ordo | |
| 4 | elle a tracé dans les airs un rappel, qui s'est inscrit en hiéroglyphes livides sur toute la façade de la maison, entre la rangée supérieure et la rangée inférieure des fenêtres : "Aime cette maison si tu le peux ! Aime-la si tu l'oses !". | Vrai | Bernie77 ordo tomahawk | |
| 5 | regarde !" Et je vis apparaître entre les branches, trois corps pareils à des anges musiciens. Deux d'entre eux, sur les côtés, étaient mes fils, et au milieu la lumière était si intense qu'elle traversait la poitrine de l'ange le plus grand, et m'éblouissait. Je compris alors qu'ils ne m'interdiraient plus jamais la bénédiction de l'amour que vous me portez. | ordo | tomahawk |
Proposé par Stéliade
Source: p.230, Pocket Classiques n° 6045, © Garnier Frères, 1966.
Publié le 9 août 2008