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"Son propre sac médicinal contenait un akoonah, la peau de la mue d’un serpent, un fragment de corne de cerf, une pierre provenant d’un lac, identique à celle que possédait son frère, et une petite branche d’arbre sur laquelle elle avait gravé des symboles traditionnels.
Elle prit quelques longues et profondes respirations pour ramener le calme en elle, puis"

(Christie Golden, Spirit walk)

Ce passage est hors concours - en particulier, l'exactitude et l'unicité de la bonne suite ne sont pas garanties.


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NoPropositionAuteur
     
1plaça sa main sur l’akoonah. La pierre était chaude et vibrante, elle ferma les yeux et ouvrit son esprit à la sensation familière et réconfortante. « Nous sommes loin des lieux sacrés des nos ancêtres », murmura-t-elle, « nous sommes loin des os de notre peuple. Je viens prier que l’on me guide. »Vraisssss
tomahawk
2elle pensa que la besace du Maître contiendrait une médecine qui le sauverait. Elle y enfouit la main fébrilement, puis en retira un sachet de soupe-minute aux tomates, un bout de crayon, une épingle à cheveux, une pile électrique, un bracelet-montre sans montre, un tube de colle séchée et un timbre collé sur un bout d'enveloppe mais non-oblitéré.Renex  
3elle plongea dans le lac glacé de la montagne sacrée afin de récupérer l'amulette de son grand-père, le druide que tous les gens du village avaient consulté au moins une fois dans leur vie.
Elle avait apris à nager avec lui, au bord de la rivière Wahiya,toute l'innocence et la fraîcheur de sa jeunesse perdues après ces années d'errance lui revinrent aors en mémoire.
saturn  
4posa doucement le scalpel en acier à l'endroit où commençait la poitrine. Elle regarda quelques secondes le beau et large visage d’homme qui respirait calmement sur le sol, sa peau brune et luisante, la droite barrière longue de son nez, les cheveux noirs exubérants où se découvraient quelques fils de blancheur. Lui envoya tout son amour. Puis commença l’opération.tomahawkRenex
Stéliade
Stéliade
5elle prit son Ipod et s'isola dans le Coin Solo. Elle en avait le droit par contrat, dix minutes toutes les six heures. Esperanza en avait marre de travailler au Parc Pocahontas mais elle se sentait proche des vrais indiens. Comme elle, beaucoup crevaient lentement, de sous-job en cure de désintox. Comme eux, elle attendait le retour d'une lumière, d'un rythme qui guérirait le monde.Stéliadetomahawk
Renex
sssss

Proposé par ordo
Source: Pocket books p. 169 (ma traduction)
Publié le 1er juillet 2008

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Commentaire de l'auteur


ordo11 mai 2008, 11:08:33
"A coo chee moya
I am far from the sacred places of my grand fathers
I am far from the bones of my people
But perhaps there is a powerful being that will embrace me
And get me the answers I seek"


Allez, un petit tour dans le bel univers de Star Trek...


Commentaires divers


ordo3 juillet 2008, 19:49:45
Bon, vous vous en foutez sans doute, mais à cet endroit, Sekaya,conseillère spirituelle amérindienne sur le vaisseau Voyager, demande à son guide animal de la guider : va-t-elle tout révéler à son frère Chakotay de ce qui est advenu de son peuple, pendant l'occupation cardassienne? (en gros, esclavage, exploitations diverses, et surtout expérimentation médicale à la manière nazie)...
Tomahawk, ton personnage est très beau et attirant:-)
S*, des gens de ma famille ont vu le genre de parc auquel tu fais allusion, c'est en effet terriblement déprimant.

tomahawk4 juillet 2008, 16:34:10
Merci. J'aime ce jeu où on peut inventer un homme, c'est très amusant. A partir de la glaise.

Stéliade4 juillet 2008, 18:33:26
Ordo, non on ne s'en fout pas, ça donne même envie de le lire. Donc, mission accomplie :-)

Tomahawk, ça fait plusieurs fois que je remarque la beauté de tes contributions.


tomahawk5 juillet 2008, 10:16:30
C'est très gentil, merci, j'essaie d'être à la hauteur des autres participants.

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