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"Ludivine se décide à en dire un peu plus.
- Je trouve Maïlys très gentille. Elle m'a dit qu'elle et les autres infirmières font tout ce qu'il faut et que Lorenzo va s'en sortir...
Elle espérait un soupir de soulagement, un mot de tendresse, mais c'est un cri qui l'arrête..."
(Stéphane Méliade, Ludivine et le Grand I)
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| No | Proposition | Auteur |  |  |
| 1 | - Ton... Ton bras, Ludi ! Madame Muflier, le visage blanc, se précipite sur la manche de pyjama vide. Du drap, Ludivine sort sa main, qui prend la forme d'un lapin farceur aux oreilles agitées. - Mais non, t'inquiète, ma petite maman ! Je suis juste tombée de deux mètres, moi ! | Renex | ||
| 2 | - Non! Elles mentent, toutes! Je sais, moi, qu'il n'atteindra pas l'été. Et toi, comme les autres, tu refuses de la voir en face, la Faucheuse! Pourtant, elle est là, elle rôde! Depuis le retour de Vienne, je l'ai sentie. Hébétée, Ludivine s'appuie contre la bibliothèque. | Henri | ||
| 3 | - Aïe ! sale bête ! sors d'ici ! Norma s'est levée d'un coup, et chasse une mouche avec violence vers la fenêtre. Affolé, l'insecte cherche l'ouverture, mais trop tard : une page du gros journal du dimanche l'écrase contre la vitre. "Bon, se dit Ludivine écoeurée, c'est pas encore aujourd'hui que la vie va trouver son chemin..." | tomahawk | Colonel Sponsz | Henri |
| 4 | - S'EN SORTIR? Janile lance un regard dur à sa fille. - Mais qu'est-ce que tu crois? Il est peut-être en train de se réveiller en ce moment ! On va peut-être nous appeler avant la fin du repas, pour nous dire qu'il pourra bientôt nous rejoindre ! Et toi, tu doutes de lui? | Vrai | Renex tomahawk | |
| 5 | - Poisson d'avril ! Ludivine hausse les sourcils. Elle ne sait pas si elle est heureuse ou pas. - Tu... tu veux dire que personne n'est blessé ou malade ? Le réalisateur fait vigoureusement "non" de la tête. - Mais mon arbre, pourquoi vous avez abattu mon arbre ? - Euh... il fallait bien que ça soit crédible, sinon, tu n'aurais jamais marché... | Stéliade | Henri | Colonel Sponsz Renex tomahawk |
Proposé par ordo
Source: édition les Trois Orangers 2008 p. 28
Publié le 27 avril 2008
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| ordo | 31 mars 2008, 20:58:15 |
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| ..."Ce qui fait le plus mal à Ludivine, c'est qu'elle a déçu sa mère." Je trouve personnellement ce passage totalement crève-coeur, en plein dans la vérité du malaise sournois et de l'impuissance complète dans laquelle sont les proches de quelqu'un qui est en danger de mort. Le petit dernier de Stéphane Méliade^^, un très beau livre... Ludivine et le Grand I | |
| Stéliade | 1er avril 2008, 00:46:07 |
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| Bon, bien évidemment, je ne voterai pas :-) Mais tout aussi bien évidemment, je n'ai pas pu résister à participer ^^ | |
| Stéliade | 26 avril 2008, 23:15:48 |
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| En fait, je voulais écrire à la fin "sinon, tu n'aurais jamais pleuré", mais je ne sais pas pourquoi, ça s'est transformé en "marché". Pour les suites, ah oui merdeuuuh, je viens seulement de me rendre compte que je peux mettre un souriel, mais PAS un vote, par définition, je ne peux pas x_x Alors, sans aucune gêne, parce que je suis fier de ce livre et il mérite de faire son chemin, un petit peu de pub. Ce n'est pas de la grosse édition par des firmes sans visage à qui le profit tient lieu de politique éditoriale, c'est de la petite édition artisanale, faite par un vrai passionné, petite maison entreprenante et qui aime ses auteurs et connaît chacun d'eux personnellement, et qui aime ses livres avec un soin rarement vu ailleurs, une maison qu'on peut être fier de soutenir. En plus, ici, pion est vraiment LE repaire par excellence de lecteurs de choix, mélant le rêve et l'exigence, alors voici un lien vers le site de mon éditeur : www.les3orangers.com/new/details.php?intpRefOuvrage=66 Et pour chevaucher l'amazone avec Ludivine : www.amazon.fr/Ludivine-Grand-I-Stéphane-Méliade/dp/2912883547 Cette histoire *toutes proportions gardées, car il est mon idole et je ne serais absolument pas géné de m'incliner jusqu'à ses pieds* a pour point commun avec celles de Myazaki comme "le voyage de Chihiro", de partir d'une histoire personnelle pour toucher à l'universel, et ce en toute proximité, sans aucune "démonstration", simplement par chaque seconde après seconde respirée. Je prend même des risques : si RIEN ne vous touche dans ce livre, je m'engage a vieillir d'un an, oui, je dis bien d'UN AN, ce n'est pas rien, le 1er juillet prochain. | |
| ordo | 27 avril 2008, 15:49:35 |
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| ah ah, une situation inédite, due à ta participation, s*: Henri qui ne vote pas pour le bon, tout en votant pour le bon :-)). Bravo Tomahawk et Renex d'avoir trouvé, c'était pas facile ici (et à Tomahawk d'avoir trompé Colonel Sponsz !). En fait, je n'ai pas forcément choisi le passage que je préférais, le plus poétique, il y en a énormément pourtant, mais ce passage qui met presque mal à l'aise. On se révolte contre l'attitude de la mère (et j'ai déjà ressenti cela, dans les deux sens, côté Ludivine et côté mère). | |
| Stéliade | 27 avril 2008, 16:46:30 |
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| J'adore celle de Renex, elle me donne presque envie d'écrire un livre parallèle :-) | |
| Stéliade | 27 avril 2008, 16:48:56 |
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| Et en plus, avoir fait participer le légendaire colonel Sponz, rien que pour ce délicieux retour, j'ai eu raison d'écrire le livre, un jour lointain... | |
| tomahawk | 27 avril 2008, 20:34:35 |
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| Chez moi, il y a des anniversaires qui arrivent bientôt, cela tombe très bien, merci. | |