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"Toute guitare est substance de la mort
Dans l'herbe avec les noeuds d'eau vive
De ce côté du jour où les yeux dorment comme neige infinie
Où l'on salue du vent l'ouverte lampe
Sur sa table d'eau pure
Quand se défait du vent la torche vive"

(Salah Stétié, L'autre côté brûlé du très pur)


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1Ainsi, le chant de brise
Suffit à bouleverser les joncs
L'éphémère se pose
Et ploie la jeune pousse
Nul ne perturbe
Ce silence d'au-delà
rougesignalBernie77
aiki
2La plaine encore évoque l'horizon
Qui doucement se retire
Le soleil s'endort et laisse sa place
La musique ondule entre les pages
Brûlants et froids comme les prémisces de l'orage
Le tonnerre ahurissant résonne
Bernie77  
3Et l'on salue l'ouverte lampe de colombe
Qui brûle étrange et brûle - O devenue par atrocité brûlûre
Mirée et remirée dans l'eau vive
Nuage avec sa lampe de poussière
Explosée dans le pur du pur : sanglante vive
Vraiaiki
Stéliade
Stéliade
4Et chaque note est un oeuf désaccordé
De la poule aux yeux d'ombre
Qui roule les galets carrés de sa finitude
Sur la plage désossée d'un cimetière ovale
Où une foule sèche vient s'amarrer
la la la
Stéliade Bernie77
rougesignal
5Cordes vibrantes au chant interrompu
comme vie qui se rompt dans un cri
ou bien dans un soupir
aikirougesignal
 

Proposé par ordo
Source: Gallimard p. 25
Publié le 3 février 2007

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Commentaires divers


rougesignal3 février 2007, 16:12:24
je préfèrerais lire des poèmes de aiki...

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