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La biologiste suédoise Susanne Wiigh-Masak, constatant que certains cimetières présentent un risque pour les réserves d'eau potable et que la crémation produit des gaz toxiques, a mis au point une alternative écologique. La recette est simple :


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1Les cadavres seront désormais enterrés deux mois, puis brûlés à 150 degrés, pour évaporer toutes les sécrétions dangereuses pour l'eau, avant d'être remis en "boîte"...colomb.white rougesignal
2Suivant les principes du philosophe Zoroastre, selon quoi il serait interdit de polluer l'air, le feu, l'eau ou la terre, les corps seront tout en haut de très grandes tourelles, où les aigles et autres vautours pourront s'en donner à coeur joie sur ces cadavres bénéficiant de "funérailles célestes"...
Puis, les ossements seront donnés à la famille du défunt, comme on donne les cendres en cas de crémation.
sssss  
3congelez le corps et, huit à dix jours après le décès, plongez-le dans de l'azote liquide. Au bout d'un certain temps, le cadavre est réduit à 20-30 kg de poudre organique beige. Cette substance peut être placée dans un cercueil ou mise en terre dans un réceptacle biodégradable, auquel cas il n'en reste plus trace au bout d'environ six mois. Le plus : le mélange fait un remarquable compost qui peut servir pour planter un arbre ou un massif de fleurs à la mémoire du défunt.Vraiordo
rougesignal
Renex
4Hacher le corps qui se retrouverait mixé avec les viscères permettrait de faire agir très vite les bactéries aérobies pour transformer le cadavre en terreau en l'espace de six semaines. A condition de vernir les cercueils d'une substance diluable à l'eau. On peut envisager, pour les proches, de reconstituer par moulage la forme du corps.Renexcolomb.white
 
5Elle recommande d'utiliser les cadavres humains dans l'alimentation d'animaux carnivores. Ce qui aurait le double effet de recycler écologiquement nos dépouilles, et de limiter l'usage de produits à bas coût dans l'alimentation du bétail et des chiens de compagnie, notamment des produits issus de l'agriculture intensive inadaptés pour le métabolisme de ces animaux. N'étant pas scientifique à s'arrêter devant un tabou, Susanne Wiigh-Masak ajoute également que l'anthropophagie, telle qu'elle fut pratiquée durant de nombreuses années en maintes places du globe, constitue une remarquable solution écologique à la question des restes humains, même si "pour des raisons culturelles, réintroduire [l'anthropophagie] n'est pas réaliste aujourd'hui".
A la question, évoquée par un journaliste facétieux, du devenir de ses propres restes, Mme Wiigh-Masak a répondu que ses dispositions testamentales en surprendraient plus d'un, mais n'a pas souhaité donner plus de détails.
PuchRenex
hornblende
ordo
6la dissolution dans le vitriolrougesignalhornblende
colomb.white

Proposé par Wayra
Source: Les insolites du Courrier international, 18 oct. 2001
www.courrierinternational.com/insolite/insoliteaccueil.asp?page=36&obj_id=12389#12389
Publié le 13 septembre 2006


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