Nous n'avons pas été présentés

S'identifier

Continuer le passage suivant :

"Je crie pour reconnaître la brûlure
que laisse en moi la nuit qui se retire,
la nuit-jungle, la nuit d'intime sauvagerie
la nuit où l'on dérive au large de soi-même
et par le chas de l'aiguille à coudre le coin de l'oeil
et par le chaos des épaules et des reins."
(André Velter, Ouvrir le chant)

Cliquez sur l'une de ces suites si vous souhaitez l'ajouter à votre liste de favoris.

No	Proposition	Auteur
1	Je crie mon amour pour une ombre qui serait moins qu'une ombre et la promesse complice d'un royaume entrevu.	Vrai	Renex Solsichat
2	Dehors c'est soleil et la vie grouille et klaxonne et la nuit continue ou bien c'est le temps qui dure trop prévisible, quand on est trop malade. Et on sait bien quand on peut l'être, pas de rendez-vous aujourd'hui.	Renex	Stéliade
3	Je respire l'haleine des feuilles, laissée là, éolienne Camille fascinée par les monstres, rochers du Géyn, avec dans ce souffle qu’il l'absorbe, un peu d'elle, un peu de son désir, un peu de son âme, avec dans ce rien, si proche, les habitudes secrètes et chères, la vie intérieure des êtres qui se mêlent.	Veronese		Renex
4	je verse toute la mer dans l'armure je brode un soleil sur le drap des fantômes océan debout dans la cheminée du paradis ma pluie traverse une autre pluie j'apprends tous les cris des gouttes animales	Stéliade	Caboche
5	Aaaaaaaaahhhhha aahhha ahhhha ahhhhah ! Aaaaaaaa-aaaha aaaaahaaaa ! AAAaaaaAaaaah HHHaaaaahaaaaaa ! aaaaaaaaaaaaH Aaaaaaaaaaaaaaaha aaah !	Adrien Spiralo		Caboche Solsichat Stéliade

Proposé par ordo
Source: poèmes à dire la francophonie
Le castor astral p. 138
Publié le 10 mai 2006

Aller en bas

Commentaires des votants

Commentaires divers