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"J'étais un autre homme, maintenant, un Maori. Jotépha et moi, nous retournâmes à la case, tranquilles et joyeux, portant notre lourd fardeau de rose : Noa Noa ! Le soleil n'était pas encore couché quand nous arrivâmes devant ma case, fatigués.
Jotépha me dit :"
(Paul Gauguin, Noa, Noa - Séjour à Tahiti -)

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No	Proposition	Auteur
1	Je vais partir sans vous. Je suis épuisé. La froid me manque et la chaleur me tue.	naja
2	"qu'il est seyant que nous possédassions le langue de nos colonisateurs; ainsi vous pûtes employer ces temps qui malheureusement disparaissent dans le parler de nos concitoyens de la métropole. Tout tient dans le prédicat et	alunk		twingolescu Veronese
3	Vivement qu'on subisse le prochain rituel !" J'étais circonspect. "Quel-est-il ? lui demandais-je avec toute la pondérance dont je sais faire preuve dans des situations officielles. - Les rapports sexuels zoophiles avec les poules sacrées du chef de clan !"	Adrien Spiralo		naja
4	Prends l'eau au creux de mes mains et installe-toi là où mes jambes me portent à peine, sur ce seuil fragililisé qui tremble encore alors que le soleil luit et que le ciel demeure aveugle. Tous nos rêves lents et réfléchis s'inscrivent dans l'odeur du bois exhalé..." Sur ce, elle défit son épais ruban, ses cheveux roulèrent sur sa nuque et elle entra. Je la suivis.	Veronese	naja	alunk
5	- Tu es content ? - Oui. Et dans le fond de mon coeur je me répétais pour moi : Oui. Je n'ai pas donné un coup de ciseau dans ce morceau de bois sans respirer, chaque fois plus fort, le parfum de la victoire et du rajeunissement.	Vrai	alunk twingolescu Veronese

Proposé par Stéliade
Source: p.54, © Éditions Complexe, 1989
Publié le 2 novembre 2005

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