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 | Déclaration d'amour à la cantine des PTT. | |
Contrainte : Alexandrins
Chaque contribution (sauf la première) doit être formée d'un distique (deux alexandrins, c'est-à-dire deux vers de douze syllabes) rimant avec les deux précédents. Les rimes doivent être au moins suffisantes. (au moins deux sons communs à la fin de chaque vers!)
Cotation : Très bonne (4.3077 sur 5, 13 votes reçus)
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| C'est en oblitérant qu'on devient oblitéron Poignet souple, nerfs d'acier, Alphonse y excellait | Fabrice |
| mais v'la t'y pas qu'un beau jour sur elle il tomba, jolie fleur d'la cantine dans une peau d'vache coquine | noune |
| Une bel homme bien fait et en bel age , Lui adressa un sourire plein de courage , | Lolo Ferrari |
| Après maintes toux et "excusez-moie-je", de vers et d'envers il lu la vide page, | Ashem |
| Quelle déchéance, quel tout dernier outrage ! Voilà la belle qui s'esclaffe et lui qui nage | Fabrice |
| dans la honte, piteux devant ses trois quenelles, comme le poisson dans la sauce béchamel. | Puch |
| Et bebère ,la cuisinière fondit en larmes devant ce spectacle. Elle decida de lui servir tout les jours doubles rations de frites | Lolo Ferrari |
| Il quitta la cantine, sa cuisinière, les frites. Bébère dit alors : "Il faudra que je la quitte". | Adrien Spiralo |
| Mais il ne put se résoudr'à sèchement la quitter et c'est pourquoi désormais il ne peut que lui clamer | noune |
| Même si cela doit ne durer qu'un été Laisse-moi s'il te plaît tout simplement t'aimer | Fabrice |
Histoire proposée par Puch
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