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Thorkill contre les fourbes espions mutants

Contrainte : Nanar
En hommage au génial site Nanarland. Des situations invraisemblables, des décors en carton-pâte, des ninjas qui font trois tours sur eux mêmes juste pour dire bonjour, des filles très peu habillées au QI de protozoaire, des gros durs avec d'énormes cartouchières à la ceinture prêts à sauver le monde libre, des dialogues ineptes et consternants, à l'humour souvent involontaire... Ce sont quelques-unes des composantes de ce grand art qu'est le nanar. Quand Chuck Norris rencontre Bernard Menez, quand les gluants Falkons lancent des rayons violets sur la ville, quand il pleut des ninjas sur la plage de nudistes, la contrainte est respectée. À vos nanars !

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Le spatio-transmetteur azimutal se mit à clignoter et une voix nasillarde retentit dans l'habitacle : "Emergency ! vkrzz ... ency !... vkrzzz" Thorkill énervé décocha un bourre-pif au biniou quimemepasmort
bien que métallique s'écrasa dans un bruitage de verre cassé. Prenant sa psychologie à deux mains et son désintégrateur cyberphotonique dans l'autre, Thorkill se tourna versFabrice
l'armée des ombres qui rappliquait, pleine de bave verte et globuleuse, et tira 3 fois. 42 mutants tombèrent d'un coup se tordant de douleur et roulant sur eux-mêmes. Il plongeastefteuf
la main dans l'hyper-besace et sortit 3 pétenlair télépathique à gaz hyper-hilarant qu'il balança nonchalamment sur ses agresseurs.
Enfourchant prestement son spatio-scooter il
memepasmort
Les Phytozoères glaireux se mirent à rire aux éclats, laissant entrevoir leurs dents jaunes et bleus, se chevauchant comme deux humains avides de sex. Loris, lui, filait sur sa bécane jusqu'àmegapouet
sentir le vent ébouriffer sa merveilleuse chevelure étoilée et glisser comme une main douce et chaude dans son cou. Il se disait que le monde pourrait être beau sistefteuf
la seconde escadrille de spongieux armés jusqu'aux dents, lasers en batteries ne venaient de le prendre à revers tandismemepasmort
qu'autour de lui des ribambelles de figurants enthousiastes surmouraient en tournant quatre fois sur eux-mêmes avant de s'écrouler dans des spasmes indescriptibles. ThorkillFabrice
saisit son Rayon laser: "Non! Jamais je ne laisserai les espions mutants trahir l'Amérique!"; il tira dans la foule, il ne voulait plus voir ces spasmes abominables. Cependant, derrière lui,godelike
Guakamôl, le flapounard de Vulcain s'était subrepticement téléporté et dardait ses tentacules visqueuses garnies de fléchettes à plasma. Thorkill, inconscientmemepasmort
ouvrit ses yeux bioioniques et, se redressant brusquement dans un flash qui l'étonna lui-même, brandit le trophée. C'était fait : il avait gagné !stefteuf

Histoire proposée par Stéliade

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