| Dans les anciennes Barbaresques, closerie où l'on élevait les méharis. |
| Sculpture grossière qui ne représente rien de familier ; seulement une forme imparfaite, indécise. |
| Usité seulement dans cette locution, qui d'ailleurs a vieilli : contrat mohatra, contrat illicite, par lequel un usurier vend une marchandise à un très haut prix, et la rachète immédiatement, lui-même ou par des personnes interposées, à un très bas prix, mais argent comptant. |
| Statue de divinité guinéenne. |
| Dans l'hindouïsme, marque portée à l'arrière du crâne, symétrique et opposée au tilak qui se porte au front. Si le tilak symbolise l'ajnâ-chakrâ ou troisième œil, le mohatra représente pour sa part l'abhâ-pâyu ou anus de lumière par lequel s'évacuent les pensées indésirables et nuisibles à la méditation. |