| Dans l’ancienne mythologie, génies malins et trompeurs de la suite de Bacchus, et comme ses gardes. C’étaient en même temps se bouffons, qui par leurs bons mots, leur babil, leurs tours de passe-passe, leurs ruses, escamotaient tout ce qu’ils pouvaient. |
| Mot qui équivaut au quant-à-soi, pour les théosophes juifs, et qui est passé dans notre littérature. |
| Se dit d'une difficulté insurmontable ou d'une épreuve qui doit décider sans réplique de la capacité ou de l'incapacité d'une personne, par allusion à un passage de l'Écriture, Juges, XII, 6, où l'on voit que les fuyards de la tribu d'Éphraïm étaient reconnus par les gens de Galaad qui les poursuivaient, parce qu'ils prononçaient sibboleth. Schibboleth veut dire épi. |
| Au XVIe siècle, nom hébraïque désignant un marrane (juif venu d'Espagne ou du Portugal et converti par nécessité à la religion catholique). Le schibboleth ou marrane continuait de pratiquer en son privé la religion israélite. |
| La toupie Schibboleth, sevivon en hébreu, comporte 4 faces. C'est lors de la fête juive de Hanouka qu'il est coutume de jouer avec cette objet.
Chacune des faces comporte une lettre hébraïque ayant une signification particulière :
* N (noûn) ce qui signifie : ne prends rien
* G (guimel) ce qui signifie : prends tout
* H (hé) ce qui signifie : prends la moitié
* Sh (shîn) ce qui signifie : ajoute à la cagnotte. |
| Dans l'armée teutonique, herboriste chargé de soigner les guerriers sur le front de l'attaque. |
| Créature divine du bestiaire mormon à la robe fauve et au poil court. Il fait un médiocre leveur mais un excellent rapporteur. |
