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| No | Proposition | Auteur |  |  |
| 1 | Outil de diamantaire qui sert à enchâsser les pierres sur griffe. | Mynos | Trolle | |
| 2 | Petit escabeau ou marchepied permettant de monter plus commodément à cheval. | Trolle | Mynos | helaine Henri |
| 3 | Enfonçure d'un chaton qui permet le sertissage d'une pierre taillée d'une culasse plongeante. | Henri | ||
| 4 | Côté du montoir ou montoir : côté gauche du cheval (celui où l'on se met en selle). | Vrai | helaine Henri Trolle | Mynos |
| 5 | Outil de bijoutier permettant les montures en épingle. | helaine |
Proposé par Stéliade
Publié le 12 juillet 2009
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| poney | 26 août 2009, 17:07:54 |
|---|---|
| Et aucune protestation de l'auteur de la définition 2 qui est égalemetn correcte ou du maître du jeu. On voit que cela manque de cavaliers, ici... | |
| Stéliade | 27 août 2009, 14:27:01 |
|---|---|
| Dans mon petit Larousse (qui est en réalité gros et fait bien ses 2000 pages), ne figure qu'uns seule définition de "montoir", qui est celle de cette présente page. Elle se trouve page 653, colonne de droite, 5eme mot en partant du bas de la page. C'est pourquoi je n'ai pas ajouté de chiffre entre parenthèses après le mot, qui indiquerait qu'il existe, dans la source utilisée pour ce tour de jeu, plusieurs définitions d'un même mot. Il existe non pas deux mais au moins quatre définitions pour ce mot, proches et toutes reliées à l'univers du cheval. Le Littré nous donne les quatre suivantes : 1.Grosse pierre ou gros billot dont on se sert pour monter plus aisément à cheval ; dans l'ancienne langue le montoir se nomme souvent perron. "Ce cheval est difficile, est rude au montoir, il se tourmente, il est inquiet, quand on veut monter dessus." Dans un sens opposé : "ce cheval est aisé, est doux au montoir". 2. Le côté du montoir, le côté gauche du cheval, ainsi appelé parce que c'est de ce côté-là qu'on monte d'ordinaire à cheval. Le pied du montoir, le pied gauche du cheval. Le côté droit se nomme hors montoir ou hors du montoir. 3Appui du pied gauche du cavalier sur l'étrier du côté gauche. + 4.Aptitude à être monté, en parlant d'un cheval. L'anglo-normand, cheval de l'époque, capable de tous les genres de travail, apte à tous les services, propre au montoir comme à l'attelage, recherché par le commerce de luxe et par l'armée. [Bocher, Rap. à l'Assemb. nat. n° 1910, p. 35] | |
| Renex | 27 août 2009, 19:42:44 |
|---|---|
| La définition de Trolle, qui correspond à la définition 2 de Maître Stéliade, me semble être la plus importante. Le problème de la montée à cheval a toujours existé, surtout pour les personnes mal foutues, malades, obèses, impotentes, retraitées... toutes ces personnes qui forment l'essentiel de la population. Exceptionnel ! Je propose aux communes qui n'ont pas de musée de leur confectionner un musée du montoir. Grosse pierre néolithique, billot de bois moyen-âgeux, escabeaux sculptés servant à marquer son rang social, montoir de guerre (pliable et très solide), montoir roulant mécanique, montoir à âne, à dromadaire, à éléphant. Aujourd'hui, bien sûr, le problème est résolu : un règlement européen exige un quai surélevé à 1 mètre 50. On n'est plus au moyen-âge. | |
| memepasmort | 28 août 2009, 02:58:27 |
|---|---|
| Peut-être qu'avec un trampoline... | |
| Maitredujeu | 23 novembre 2009, 20:47:07 |
|---|---|
| J'ai annulé les résultats de ce tour pour la raison suivante : la proposition de Trolle est également une bonne réponse. Ce passage reste visible dans les archives, mais a été retiré du quiz, et les points attribués pour les votes obtenus et pour les bonnes réponses ont été retirés. Les souriels obtenus restent toutefois acquis. | |