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No | Proposition | Auteur | ||
1 | C'est un aden pratiqué dans deux pièces de bois qu'on veut réunir pour composer une vergue, dite d'assemblage; il est saillant sur l'une et rentrant dans l'autre- voir aussi ridage. | Trolle | poney | |
2 | Se dit d'un uniforme non réglementaire pour les matelots. Ce matin-là, je n'étais pas encore réveillé et j'avais mis ma tenue gueule de raie pour me présenter devant le capitaine Jack Sparrow .(Wilson McNee, A l'abordage moussaillon) | Mynos | Stéliade | |
3 | Noeud qu'on fait avec le bout d'une ride, autour du croc d'un palan, lorsqu'il est employé à rider. | Vrai | allantwo0 Mynos Stéliade Trolle | |
4 | Matelot qui, soit par goût personnel, soit à la suite d'un jeu, soit par simple désignation, est chargé de prodiguer à l'équipage les plaisirs habituellement prodigués par les femmes. | Stéliade | allantwo0 | |
5 | Visage en lame de couteau (tel une raie vue sur la tranche) ou en face de lune (tel une raie vue du dessus ou du dessous) | poney | Mynos | |
6 | Insulte qui s'adresse à un mousaillon efféminé. | allantwo0 | poney Trolle |
Proposé par Renex
Publié le 19 décembre 2008
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Trolle | 16 décembre 2008, 23:18:15 |
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Un dictionnaire technique, même ancien, est-il encore un dictionnaire français ? Est-ce qu'on ne s'éloigne pas de l'esprit du jeu ? |
Renex | 16 décembre 2008, 21:07:01 |
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Comme quelques autres dicos, j'ai trouvé celui-ci en pages photographiées intégralement sur internet, et accessible en pdf. C'est un vieux dictionnaire. Voici par exemple ce qu'on lit à l'article SCORBUT de mer : Dans les longues traversées les marins sent sujets à cette funeste maladie, qui corrompt la masse du sang et qui atteint plus particulièrement les équipages des bâtimens qui n'ont que des vivres salés, l'eau réglée, et dont l'entrepont, trop peu ou point aéré, conserve de l'humidité. Le défaut de propreté, d'activité, etc., est une des principales causes, et qui agit un peu plus tôt un peu plus tard sur certains tempéramens. Je dis scorbut de mer, par la raison que le marin chez qui cette maladie est le plus invétérée, en guérit promptement lorsqu'il arrive à terre. Des mourans enterrés jusque sous les aisselles, dans les sables, près de rivage, reviennent à la santé au bout de quelques jours en répétant ce moyeu de guérison sous un beau soleil, et pendant qqatre ou six heures consécutives. Le bouillon de tortue de mer, les légumes frais et les fruits accélèrent le rétablissement de l'homme qui est parvenu à gagner la terre, mais souvent son approche lui enlève la vie. Heureusement que le scorbut ne fait plus ou peu de progrès aujourd'hui sur mer, parce que l'eau à boire est meilleure, les vivres mieux préparés, les bâtimens et les hommes mieux tenus, etc., etc. |