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Donner la définition du mot suivant : Vareigne

(Larousse universel en deux volumes 1923)

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1Personne réputée pour sa mauvaise conduite. "La vareigne du village".Solsichattwingolescu
sssss
2Sorte de sous-pull en coton très épais.colomb.whiteSolsichat
 
3Jardin maraîcher des environs de Tours.Vrai Solsichat
4Rongeur d'Afrique Saharienne.Adrien Spiralo  
5Genre de porte arachnide.sssssVeronese
Faschingsball
twingolescu
6Mycose néfaste aux ovins et aux caprins.twingolescuFaschingsball
sssss
Veronese

Proposé par Renex
Publié le 29 août 2006

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Commentaire de l'auteur


Renex24 août 2006, 19:48:03
Autre forme de "garenne".

Commentaires des votants


twingolescu28 août 2006, 20:34:18
bon, je mets un sourielle à sssss, du moins je crois (-:

Commentaires divers


sssss30 août 2006, 01:39:29
Une question m'a toujours turlupiné : pourquoi twingolescu fait des smileys dans l'autre sens ?

Solsichat30 août 2006, 06:06:45
C'est vrai, il est bizarre Twingo. Il doit venir d'une autre planète......

twingolescu30 août 2006, 07:29:21
parceque Twingo se fiche des normes.

Solsichat30 août 2006, 07:33:22
Voilà, je le disais bien !

sssss30 août 2006, 17:11:57
moi aussi alors . .
|
\_/


sssss30 août 2006, 17:12:27
oula, un bug

. .
|
\_/

Renex30 août 2006, 19:05:41
C'est formidable, comme vous arrivez à ne parler de rien, 365 jours par an. On vous met l'internet, l'électricité, tout. Et tous les jours vous cherchez à ne rien dire. Et même à chercher les fixettes qui permettraient de faire croire tout en ne pas. C'est pas grave, mais c'est embêtant.

Renex30 août 2006, 20:31:56
Ah, c'est sûr, il faut ménager les susceptibilités, et ne pas commencer à susceptibiliser les ménages. Si on parlait de la vraie vie, si on utilisait la poésie pour parler du vrai monde, vraiment vrai, on se ferait des ennemis! On ne parle pas des entreprises, du travail, dans la poésie. On ne parle pas des espoirs et des problèmes des gens, dans la poésie papillonnesque.

Solsichat30 août 2006, 20:59:31
Euh....Renex, ça va ? On t'aime bien tu sais.

twingolescu30 août 2006, 21:29:40
En Sibérie tonnait le canon, c'était la guerre
La faim le froid la peste et le choléra
Et les eaux limoneuses de l'Amour charriaient des millions de charognes
Dans toutes les gares je voyais partir tous les dernier trains

Personne ne pouvait plus partir car on ne délivrait plus de billets
Et les soldats qui s'en allaient auraient bien voulu rester...
Un vieux moine me chantait la légende de Novgorod

Moi, le mauvais poète, qui ne voulais aller nulle part, je pouvais aller partout
Et aussi les marchands avaient encore assez d'argent pour tenter aller faire fortune.
Leur train partait tous les vendredis matins.
On disait qu'il y avait beaucoup de morts.

L'un emportait cent caisses de réveils et de coucous de la forêt noire
Un autre, des boites à chapeaux, des cylindres et un assortiment de tire-bouchons de Sheffield
Un des autres, des cercueils de Malmoë remplis de boites de conserve et de sardines à l'huile
Puis il y avait beaucoup de femmes
Des femmes, des entrejambes à louer qui pouvaient aussi servir
Des cercueils

Elles étaient toutes patentées
On disait qu'il y a avait beaucoup de morts là-bas
Elles voyageaient à prix réduit
Et avaient toutes un compte courant à la banque.

Solsichat30 août 2006, 21:38:44
Bon Dieu, mais c'est bien sûr ! ça ressemble à du Cendrars !
c'est-y pas Twingo ?

twingolescu30 août 2006, 22:08:59
c'est la prose du transsibérien,
et c'est beau.

aiki31 août 2006, 14:41:52
C'est beau, mais c'est triste...
Essayons quand même de vivre, ça n'oblige pas à oublier les autres :
Le vent

J‘avais perdu le goût des grandes découvertes
Et je ne laissais plus ma porte grande ouverte
Au vent de l’avenir, ce porteur de mirages.
Mon vieux voilier à quai, toutes voiles ferlées
Avait pour équipage les ombres du passé…
Je ne croisais plus guère de nouveaux visages.

« Accepte enfin le trait tiré sur le passé
Vois comme il est béant, désormais, le fossé
Entre ce que tu fus et ce que tu seras
On ne peut arrêter la marche des saisons… »
Ainsi parlait, patiente, la raison
Fallait-il donc qu’elle ait raison, déjà ?

J’ai repoussé la porte, j’ai accueilli le vent
J’ai senti sa caresse, j’ai écouté son chant :
« Tu as si peu appris, et tu n’as rien compris…
Pourtant il te suffit d’oser ce que tu veux
D’oser la terre, le vent, d’oser l’eau et le feu
Et de porter tes yeux, au loin, vers l’infini »

Le vent et sa chanson m’ont emmenée au port
Jusqu’au navire à quai… je suis montée à bord
J’ai largué les amarres et j’ai hissé la voile,
J’ai retrouvé les vagues et le goût des embruns
Et si mon cœur chavire, parfois, certains matins
C’est de voir le soleil changer l’eau en or pâle.

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