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No | Proposition | Auteur | ||
1 | Personne réputée pour sa mauvaise conduite. "La vareigne du village". | Solsichat | twingolescu | sssss |
2 | Sorte de sous-pull en coton très épais. | colomb.white | Solsichat | |
3 | Jardin maraîcher des environs de Tours. | Vrai | Solsichat | |
4 | Rongeur d'Afrique Saharienne. | Adrien Spiralo | ||
5 | Genre de porte arachnide. | sssss | Veronese | Faschingsball twingolescu |
6 | Mycose néfaste aux ovins et aux caprins. | twingolescu | Faschingsball sssss | Veronese |
Proposé par Renex
Publié le 29 août 2006
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Renex | 24 août 2006, 19:48:03 |
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Autre forme de "garenne". |
twingolescu | 28 août 2006, 20:34:18 |
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bon, je mets un sourielle à sssss, du moins je crois (-: |
sssss | 30 août 2006, 01:39:29 |
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Une question m'a toujours turlupiné : pourquoi twingolescu fait des smileys dans l'autre sens ? |
Solsichat | 30 août 2006, 06:06:45 |
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C'est vrai, il est bizarre Twingo. Il doit venir d'une autre planète...... |
twingolescu | 30 août 2006, 07:29:21 |
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parceque Twingo se fiche des normes. |
Solsichat | 30 août 2006, 07:33:22 |
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Voilà, je le disais bien ! |
sssss | 30 août 2006, 17:11:57 |
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moi aussi alors . . | \_/ |
sssss | 30 août 2006, 17:12:27 |
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oula, un bug . . | \_/ |
Renex | 30 août 2006, 19:05:41 |
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C'est formidable, comme vous arrivez à ne parler de rien, 365 jours par an. On vous met l'internet, l'électricité, tout. Et tous les jours vous cherchez à ne rien dire. Et même à chercher les fixettes qui permettraient de faire croire tout en ne pas. C'est pas grave, mais c'est embêtant. |
Renex | 30 août 2006, 20:31:56 |
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Ah, c'est sûr, il faut ménager les susceptibilités, et ne pas commencer à susceptibiliser les ménages. Si on parlait de la vraie vie, si on utilisait la poésie pour parler du vrai monde, vraiment vrai, on se ferait des ennemis! On ne parle pas des entreprises, du travail, dans la poésie. On ne parle pas des espoirs et des problèmes des gens, dans la poésie papillonnesque. |
Solsichat | 30 août 2006, 20:59:31 |
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Euh....Renex, ça va ? On t'aime bien tu sais. |
twingolescu | 30 août 2006, 21:29:40 |
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En Sibérie tonnait le canon, c'était la guerre La faim le froid la peste et le choléra Et les eaux limoneuses de l'Amour charriaient des millions de charognes Dans toutes les gares je voyais partir tous les dernier trains Personne ne pouvait plus partir car on ne délivrait plus de billets Et les soldats qui s'en allaient auraient bien voulu rester... Un vieux moine me chantait la légende de Novgorod Moi, le mauvais poète, qui ne voulais aller nulle part, je pouvais aller partout Et aussi les marchands avaient encore assez d'argent pour tenter aller faire fortune. Leur train partait tous les vendredis matins. On disait qu'il y avait beaucoup de morts. L'un emportait cent caisses de réveils et de coucous de la forêt noire Un autre, des boites à chapeaux, des cylindres et un assortiment de tire-bouchons de Sheffield Un des autres, des cercueils de Malmoë remplis de boites de conserve et de sardines à l'huile Puis il y avait beaucoup de femmes Des femmes, des entrejambes à louer qui pouvaient aussi servir Des cercueils Elles étaient toutes patentées On disait qu'il y a avait beaucoup de morts là-bas Elles voyageaient à prix réduit Et avaient toutes un compte courant à la banque. |
Solsichat | 30 août 2006, 21:38:44 |
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Bon Dieu, mais c'est bien sûr ! ça ressemble à du Cendrars ! c'est-y pas Twingo ? |
twingolescu | 30 août 2006, 22:08:59 |
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c'est la prose du transsibérien, et c'est beau. |
aiki | 31 août 2006, 14:41:52 |
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C'est beau, mais c'est triste... Essayons quand même de vivre, ça n'oblige pas à oublier les autres : Le vent J‘avais perdu le goût des grandes découvertes Et je ne laissais plus ma porte grande ouverte Au vent de l’avenir, ce porteur de mirages. Mon vieux voilier à quai, toutes voiles ferlées Avait pour équipage les ombres du passé… Je ne croisais plus guère de nouveaux visages. « Accepte enfin le trait tiré sur le passé Vois comme il est béant, désormais, le fossé Entre ce que tu fus et ce que tu seras On ne peut arrêter la marche des saisons… » Ainsi parlait, patiente, la raison Fallait-il donc qu’elle ait raison, déjà ? J’ai repoussé la porte, j’ai accueilli le vent J’ai senti sa caresse, j’ai écouté son chant : « Tu as si peu appris, et tu n’as rien compris… Pourtant il te suffit d’oser ce que tu veux D’oser la terre, le vent, d’oser l’eau et le feu Et de porter tes yeux, au loin, vers l’infini » Le vent et sa chanson m’ont emmenée au port Jusqu’au navire à quai… je suis montée à bord J’ai largué les amarres et j’ai hissé la voile, J’ai retrouvé les vagues et le goût des embruns Et si mon cœur chavire, parfois, certains matins C’est de voir le soleil changer l’eau en or pâle. |