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Sophie et les raisons de jouer. |
Contrainte : Alexandrins paillards.
Chaque contribution doit être composée d'alexandrins débauchés, vulgaires et poétiques.
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Il était une fois, en l'an mil neuf cent six, Une fille de joie réclamant des saucisses. Elle n'avait pas vingt ans et s'appelait Sophie, | Bernie77 |
recherchait de quoi boire, pour ne pas défaillir aux infâmes gâteux qu'on lui sommait de prendre | ordo |
mais l'alcool est pareil à une giclée de jus, et cette évocation lui semblait malotrue, | kobalt |
elle s'enfila donc trois verres de raki, quand elle vit surgir devant elle un kiki. | Bernie77 |
Et deux cent le suivaient, ce géant d'Italie. La liqueur orientale coula, ivre, divine, Comme tirée sans fin d'un sérail de pines, Sophie ne gagnerait puisqu'il fallait sévir | Françoué |
Qu'un brutal coup de fouet, lui lacérant le cuir. Ouvrant alors la bouche car elle avait grand faim, elle engorgea le monstre et pompa le gredin. | kobalt |
Sous les assauts mutins de la langue assassine Notre gaillard rougeaud, vira à la sanguine | memepasmort |
Et saupoudrant, allègre, entièrement la couche L'envie vint de lui mettre un gros doigt dans la bouche | Bernie77 |
Les phalanges s'enfoncèrent, lui titillant la glotte, Son sphincter contracté, lui, retenait la crotte, | kobalt |
C'est ainsi que pleine du haut et bouchée du cul, Dans un cri de bonheur, elle a joui et mourut... | Mynos |
Histoire proposée par Françoué
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