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L'Olivier était plus cher |
Contrainte : Polar du genre
pas d'argot habituel, mais le "polar" au sens romanesque.
Cotation : Très bonne (3.5000 sur 5, 6 votes reçus)
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Je marchais dans la nuit naissant lorsque j'entendis des pas derrière moi. J'accélérai le pas, le coeur battant | naja |
les pas que j'entendais n'étaient pas normaux, on aurait dit un homme blessé qui s'appuyait sur une canne métallique, plink plank pla-ank, ça faisait, plink plank pla-ank... c'est alors que | ordo |
le commissaire Martin est intervenu. Son Python à la main, au milieu de la ruelle, aveuglé par la douleur, il était déjà prêt à venger celle qui durant 20 ans l'avait fait mariner dans sa solitude | twingolescu |
et de lui faire la peau. Il dégusta d'avance se vengeance. | naja |
Il ne lui fallut que trois gorgées de bourbon pour peaufiner son plan. Son imper, posé sur la chaise, semblait préfigurer la dépouille pendante de son | Stéliade |
client. Ca va sentir la cordite à fond les naseaux, ça va cracher des boyaux. Tant pis pour la suite et puis toujours le chant de la belle pour l'encourager. Allez, encore un p'tit coup pour la route. | twingolescu |
Et hop! Je pars à l'aventure du sang. Le vrai. Celui qui coule rouge et qui est chaud. | naja |
A peine avais-je fait quelques pas dans la rue, qu'une impasse interlope et perpendiculaire attira mon attention par l'enseigne rouge pétant d'un marchand de sang. | Migou |
J'entrai dans le bistrot-bouiboui-boucherie qui sentais le raisinet et la coriandre. Le patron m'accueillit d'un signe d'une main et d'un coup de tranchoir de l'autre | twingolescu |
Je me mis à saigner abondamment et lui fit un adieu de la tête que je perdit aussitôt. Je venais de rencontrer la Mort. | naja |
Histoire proposée par Migou
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