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 | un roman sans œufs | |
Contrainte : Lettre "e" interdite
Ne pas utiliser de lettre e : les mots doivent exister dans le dico (sauf noms propres : pour eux, c'est possible).
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| Sur son piano à cocktail, Boris Vian composait son roman. Plaquant un do-mi-sol, il produisit un oxymoron au citron, puis joua un portrait au curry. | picrocole |
| Un son sonna faux. Il l'assaisonna illico d'un mot grivois. Ainsi, Boris composait un court fabliau ou un chant paillard. | Caboche |
| Goulu, sans aucun bla-bla, son chant raviva un minou coquin, toison auburn aux sous-sols du paradis. La nana frissonna puis | Stéliade |
| chanta. Son auburn minou miaulais à qui va là. Il hantait son champ. La nana chantonna aussi | naja |
| Moi, j'allais saisir, tout palpitant, son ananas (ou son nichon) droit, quand on sonna au portail, fort mal à propos. Qui faisait donc l'importun, si tard dans la nuit? | Migou |
| A coup sur, la maman du grand dadais qui gît au fond du Gardon aura saisi l'occasion d'abrutir son voisin à coups d'assommoirs sur son huis. | twingolescu |
| Surtout pour aplatir son gros tarin bouffi aux plis contrant tout bon goût. | Stéliade |
| Son aura aussi pur soit-il, n'applanira pas son goût pour son fruit. | naja |
| Il n'aura pas non plus, son aura, son cas inscrit dans vos tabloïds. | twingolescu |
| Car un chaud lapin d'un si gros gabarit fait fi d'abusifs on-dit. Or, parodiant un gai dicton : "Qui a bu boira", concluons sur un avis savant : "Qui goûta la chair, toujours la chairira". | Migou |
Histoire proposée par Migou
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