| Danse tsigane de Moldavie à dix-neuf temps.
Le premier temps s'effectue les mains sur les hanches, une jambe levée.
Le deuxième les bras en l'air, les jambes fléchies.
Le troisième les coudes rentrés tandis que le corps est dans les airs.
Le quatrième les mains sur les hanches, les jambes tendues.
Le cinquième les bras en l'air, une jambe levée, et ainsi de suite.
Le dernier temps, nommé le kakabrekavat, signifie littéralement "temps libre", et peut être exécuté comme bon semble au danseur. |
| Mot de patois, qui vient de la contraction d'une locution populaire flamande, et qui signifie littéralement "ce qui reste est cassé". Il désigne des marchés que l'on peut trouver dans le Nord, dans lesquels se vendent à peu de prix des denrées non consommées des auberges, des tavernes & autres hostelleries de leurs alentours. |
| Pierre qu'on dit ressembler au crystal, & être d'une couleur d'un blanc sale, à laquelle on a attribué des vertus ridicules. |
| Ce nom qui a pour provenance les première paroles d'une chanson de marins, désigne une cérémonie coutumière en usage sur les galères de l'Empire Ottoman qui font la traversée de Constantinople à Athènes. L'équipage chantant à l'unisson kaka brek avat, coule un bronze à l'effigie du grand Turc au fond de la mer Egée.
Le Chevalier de Beaumanoir nous a rapporté une traduction de ce chant qui témoigne de l'âpreté de la vie en mer :
"Les marins sont en mer dès l'aurore, en mer dès le matin, en mer dans la journée, ils ont la mer devant, ils ont la mer derrière, la mer de tous les côtés". |
| Mot issu d'un dialecte russe dont la signification nous reste encore inconnue. |
| Absolument imprononçable et probablement inutile, l'origine et le sens de ce mot restent inconnus. Il n'en existe que quelques apparitions sous forme de scories dans d’obscurs incunables mais qui ne permettent point d'en tirer l'essence. A classer dans les facéties d'auteur. |
