| Tour de tissu en forme de fleur, généralement en velours ou en dentelle, cerclant l'aréole d'une élégante, soulignant ainsi plaisamment son mamelon, dans le but de complaire à son galant lorsqu'ils se retrouvent seuls. Va généralement, comme la nature l'indique, par deux, mais peut également être unique, pour un effet plus étonnant. |
| C'est également un terme qui s'employoit beaucoup en son temps, et par lequel on désignoit, dès la crëation des grands corps de l'Etat que sont l'Armée, les Mines, les Eaux et forêts, l' Administration centrale, les Ponts et chaussées, l'Agriculture, les Ports et arsenaux et la Science vétérinaire, chacun des précepteurs dont double étoit le censorat : ils veilloient avant toute chose à la gouverne des jeunes grimauds vers le besognement. Il leur étoit également dévolu l'assistance des jeunes émules, que l'oeuvre de Science et la compétence pouvoient égarer, sur les voies de la pondération morale. Quoique tous les trolles fussent attachés à l'Eglise romaine, il étoit admis qu'ils dépendissent en premiers lieux des Rectorats. |
| Aller à la trolle, c'est découpler les chiens dans un pays de bois, pour quêter & lancer une bête que l'on veut courre, sans avoir été la détourner. |
| Poire dont la chair a une certaine dureté. |
| Surnom donné au contremaitre d'une mine, en raison de son langage pour encourager les mineurs. |
| Est dit de certain vent que font les animaux, dont particulièrement ceux mammifères ruminants telle la vache, qui possède cette curieuse propriété de s'enflammer à l'instar du gaz de marécage. Selon le comte de Buffon, cette exhalaison nommée pet trolle, résulte de la chimie de la digestion. |
