| Assez, ça suffit, "rama de tes caprices". |
| Syllabes placées à la fin d’un mot pour lui donner un cachet bizarre. (V. Le père Goriot de Balzac.) Le café devient le cafèrama, la viande, la viandorama ; le bœuf, le bœufo-rama. Remplacé, depuis, par les désinences, plus euphoniques, mar, muche et mince. |
| Chance du soûlard, par analogie au Dieu des Indes qui préside à la destinée. |
| Diaporama dans sa forme abrégée. |
| Danseuse en charge d'aguicher les badauds pendant que son souteneur leur fait les poches. |
| Contraction cynique de : a de la peine, s'en donne et nous en fait beaucoup. |