| Démon africain possédant, comme son nom l'indique, huit cous, lesquels sont surmontés, le premier d'une tête de hyène, le deuxième d'une tête de chacal, le troisière, d'aligator, le quatrième, de serpent, le cinquième, de fourmi, le sixième, de vautour, et le dernier, de lion. |
| Trace rémanente sur la peau-perceptible et visible uniquement à l'aide d'un appareillage scientifique approprié- des baisers d'une personne aimée. |
| Oiseau proche du colibri, son nom lui vient du cri que le mâle pousse pour attirer les femelles |
| Oiseau palmipède qui se nourri exclusivement de racine de gingembre |
| Petite flûte faite avec des osselets de perroquets qui permet de jouer des pièces virtuoses. Lorsqu'un maître ouïcou joue une seule fois un morceau sur son instrument, l'élève peut reproduire l'interprétation à loisir, rien qu'en faisant circuler une colonne d'air constante dans le ouïcou. |
| Boisson faite de manioc, de patates, de bananes et de cannes à sucre, dont se servent les sauvages de l'Amérique. |
| Court poème asiatique, formé en général d'un distique non rimé et asymétrique ;
"dans le désordre brûlé du lac
s'ouvre un nymphéa" (Lung Ma) |
