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Donner la définition du mot suivant : Alector

(Grand Larousse encyclopédique en 10 volumes 1964)

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NoPropositionAuteur
     
1Nom donné aux partisans du nouin aux référendumstwingolescu Adrien Spiralo
naja
Raw boy
2Tournevis à dentsnajanounouchou
twingolescu
3Proposition à Hector de sortir pour que les copains puissent profiter de sa femme.colomb.white nounouchou
4Hocco de la Guyane et de l'Amazonie (oiseau de l'ordre des galliformes)VraiAdrien Spiralo
naja
Raw boy
twingolescu
 
5En allemagne, allez voter aux aléctions fédérales.Raw boy colomb.white
6Animal carnivor ayant vécu au jurassique et ne vivant que dans l' eau.nounouchou  
7Insulte signifiant antisémiste, en référence au ministre de Pétain, Georges Alector, qui le premier, instaura une collaboration active avec l'Allemagne.Adrien Spiralocolomb.white
 

Proposé par Renex
Publié le 27 mai 2005

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Commentaires des votants


twingolescu26 mai 2005, 18:20:05
je crois que notre ami Renex ne quitte plus son 1964

Commentaires divers


twingolescu26 mai 2005, 07:10:28
cousin d'Albator et petit neveu de Goldorak par sa mère.

Renex27 mai 2005, 06:57:13
7- l'antisémiste est celui qui veut un terrain pas semé. On l'appelle aussi le terrassiste.

Raw boy27 mai 2005, 14:12:25
Chirac ne t'aimera pas twingo :)
Soit-dit en passant les amis, vous n'êtes pas sans savoir qu'au Québec, nous avons eu deux référendums majeurs portant sur la séparation d'avec le ROC, communément appellé le "Rest Of Canada". Le premier a eu lieu en 1980. On en a d'ailleurs "célébré" le 25ième anniversaire le 20 mai dernier. Le deuxième réf s'est tenu en novembre 1995. Dans les deux cas, le camp du non l'a emporté. En 1995, le Canada a survécu avec une infime "majorité" de 50 000 voix, dont on est aujourd'hui à questionner la légitimité. Il y a une méga commission d'enquête, la commission Gomery, qui a cours depuis près d'un an, et on commence à voir que le gouvernement fédéral de l'époque a manipulé dans les coulisses, faisant usage de traffic d'influence, soudoyant à gauche et à droite pour s'assurer de la victoire. Plus encore, le gouvernement fédéral a eu tellement peu, qu'il a même voté sa désormais célèbre "loi sur la clarté", peu après le second référendum. Cette loi, complètement anti-démocratique, concerne essentiellement la nouvelle majorité requise par le oui pour que le Québec puisse dorénavant espérer accéder à la souveraineté. Comme partout ailleurs, ce seuil démocratique était fixé à 50% + 1. À l'heure actuelle, la loi permet de fixer un pourcentage "ascenceur", i.e. que par exemple, le fédéral peut décider arbitrairement, en relation avec la tendance des sondages précédant le prochain référendum, d'exiger une majorité de 70% des voix pour le camp du oui, chiffre qui a d'ailleurs déjà été mentionné dans les débats sur la question. Inutile de vous dire qu'il s'agit là d'une entorse grave que Nelson Mandela lui-même n'hésiterait pas à associer à un mouvement tristement connu... Tout ce verbiage était destiné à vous rapporter la petite blague référendaire que voici. Étant donné la réputation d'indécis pathologiques que les quebecers ont acquis depuis 25 ans, on disait à l'époque que l'adjointe du premier ministre libéral, Robert Bourassa, était Ninon Ouimet !!! S'cusez le méga laïus pour cette succinte blague... Sans doute des relents du vingt-cinquième...

Rawbespierre

colomb.white27 mai 2005, 23:07:30
(Merci RB* pour ce petit aperçu de la vie politique au Québec, je suis friand de ce type d'"anecdotes")

Raw boy27 mai 2005, 23:47:32
Yapadkwa!

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